La délégation du gouvernement congolais a quitté les pourparlers ougandais hébergés avec M23 rebelles, affirmant le soutien de Kampala aux insurgés était à blâmer pour l’échec de signer un document doit se terminer officiellement la République démocratique du Congo dernière rébellion.
Okello Oryem, Junior ministre des Affaires étrangères de l’Ouganda, n’a pas commenté immédiatement sur les accusations, mais a dit s’attendre à cela prendrait quelques jours de plus avant que tout accord pourrait être signé à la fin de l’insurrection congolaise la plus grave depuis une décennie.
Les accusations de la RDC contre l’Ouganda montre la profonde méfiance dans la région, une barrière debout dans le chemin de la paix à long terme en dépit de la défaite de 20 mois insurrection de la M23 par United armée soutenu par les Nations de la RDC.
Les négociateurs congolais et les rebelles n’ont pas réussi à s’entendre sur la formulation du document destiné à plafonner les gains militaires rapides de l’armée qui ont conduit à M23 semaine dernière l’abandon de son soulèvement dans la zone frontalière riche en minerais de la RDC avec le Rwanda et l’Ouganda.
« L’Ouganda semble désormais agir dans le cadre du conflit. Elle a des intérêts dans M23″.
L’Ouganda et le Rwanda ont tous deux été accusés par des experts de soutien M23, le dernier d’une série de soulèvements menés par des combattants congolais tutsis dans l’est, qui est riche en or, diamants et autres minéraux des Nations Unies. Les deux pays nient les accusations.
Bertrand Bisimwa, chef politique du M23, n’était pas immédiatement disponible pour commenter. Sultani Makenga, son chef militaire, est actuellement détenu par l’Ouganda après avoir abandonné dernières sommet d’une colline positions des rebelles avec des centaines de combattants.
Accord politique
Malgré la disparition de M23, une pléthore d’autres groupes rebelles opèrent dans l’est de la RDC, qui est aussi criblé de conflits fonciers, l’ethnicité et l’accès aux ressources.
Des représentants de l’Organisation des Nations Unies, l’Union européenne, l’Union africaine et les États-Unis s’étaient réunis en Ouganda pour assister à la signature.
Après avoir échoué, ils ont insisté sur de nouveaux pourparlers pour obtenir un accord politique pour accompagner la défaite militaire de M23.
Médiateur principal de l’Ouganda, ministre de la Défense Chrispus Kiyonga, que les deux parties avaient conclu les négociations sur le document en 11 points le 3 Novembre, deux jours avant que les rebelles ont annoncé qu’ils déposent leurs armes.
Une deuxième source proche des pourparlers de paix a déclaré que les délégations Kinshasa et M23 ont tous deux paraphé chaque page.
Le président de la RDC Joseph Kabila est désireux de capitaliser politiquement sur la victoire de son armée, le premier sur une rébellion majeure dans le lointain, est anarchique.
Une source ougandaise proche de la médiation a dit que c’était clairement indiqué au cours des discussions.
©Lisolo.net
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