Un officier de renseignement ougandais rapporte que Sultani Makenga, Chef de rebelles M23, est placé sous protection militaire dans la capitale ougandaise.
« Il est dans une maison sûre à Kampala, mais pour des raisons de sécurité nous ne pouvons révéler l’emplacement», a dit l’officier sous couvert d’anonymat. Il a ajouté que l’armée ougandaise « assure la sécurité nécessaire».
Makenga est recherché par les autorités dans les pays voisins RD Congo, et est accusé d’avoir participé à plusieurs massacres, de mutilations, d’enlèvements et de violences sexuelles, parfois contre les enfants. Il est à la fois l’ONU et les listes de sanctions des États-Unis.
Il a dirigé l’principalement ethnique Tutsi M23 vigueur, qui se sont mutinés de l’armée congolaise il ya 18 mois. Il a fui vers l’Ouganda au début de Novembre avec pratiquement toute sa force rebelle après une défaite ecchymoses aux mains de l’armée congolaise, soutenue par des forces de l’ONU.
Le porte-parole de la défense de l’Ouganda, le lieutenant-colonel Paddy Ankunda, a déclaré que les combattants qui se sont enfuis avec Makenga ont été déplacés vers un nouveau site à Kasese, dans l’ouest de l’Ouganda et à proximité de la frontière avec la RDC.
«Nous avons sous notre protection 1.320 combattants du M23, » Ankunda déclaré à l’AFP, ajoutant que les commandants rebelles étaient également dans le camp, non seulement les fantassins. «Ce sont des combattants, ils avaient des fusils, mais nous leur désarmés. »
Officiers ougandais avaient d’abord dit 1.500 ou 1.700 hommes du M23 avaient fui vers l’Ouganda, mais de nombreux analystes considéré que ce chiffre soit gonflé.
L’ONU a accusé l’Ouganda et le Rwanda voisin de soutenir le M23. Les deux pays ont nié les accusations.
Forces soutenues par l’ONU en RD Congo n’a fait qu’une bouchée de la M23 dans une nouvelle offensive lancée le mois dernier, et les deux parties avaient été prévu de signer un accord de paix la semaine dernière.
Cependant, le processus s’est effondré à la dernière minute avec le gouvernement rejette l’idée de signer un accord avec un groupe vaincu.
APF
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