La déclaration de la reddition des forces négatives du M23 est imminente. En effet, cette formalité sera chose faite dans les tous prochains jours à Kampala malgré les pressions étrangères et malsaines de certains cercles d'influence qui continuent de démontrer une incohérence dans l'application des résolutions des accords d’Addis-Abeba ainsi que la nouvelle réalité
Jean-Paul et Herman Van Rompuy, Président de l'UE militaire sur le front Est.
La RDC s'est montrée plus que magnanime, en acceptant ce qu'aucun autre pays civilisé de la Région des Grands Lacs ou même d'ailleurs n'aurait accepté, c'est-à-dire, de s'asseoir et de négocier avec des terroristes notoires et ainsi déclarés par la communauté internationale.
De ce qui précède, les autorités congolaises continueront de camper diplomatiquement et politiquement sur une position juste et légitime, soutenues par l'ensemble de sa population, toute tendance confondue. Une telle position n'exclut cependant pas la poursuite d'une résolution plus large des problèmes de fond des pays voisins, au cours d'une conférence internationale sur la problématique des Grands Lacs, sans remettre en cause l'intangibilité des frontières nationales.
La traque des autres forces négatives devra continuer, sans négliger le démarrage effectif des dialogues et négociations constructifs entre les pays de la région et leurs oppositions politiques et militaires. Il serait en effet inconcevable d'administrer à la seule RDC les dures conclusions des accords d’Addis-Abeba, pendant que les mêmes causes de l'instabilité dans l'Est de la RDC produisent les mêmes effets similaires dans les pays voisins d'où proviennent certaines forces négatives majeures en dépit du fait que la RDC continue d'être le terrain de génocide sexuel, de déplacement éhonté et criminel des populations congolaises, du pillage des ressources naturelles et du marchandage ethnique qui ne fait qu’exacerber les tensions communautaires.
Aujourd'hui, les forces armées de la RDC démontrent aux sceptiques que les restructurations entreprises par son Commandant suprême commencent à donner des résultats remarquables. Nous demandons aux vrais patriotes, ce y compris ceux de l'ARP et de l'APARECO de nous rejoindre dans cette nouvelle aire d'espoir.
Tous les efforts seront déployés dans ce sens, dans l'esprit de la révolution du 23 octobre 2013, comme cela fut fait pour les groupes «armés» à l'Est du pays, sinon une partie de l'opinion continuera d'afficher une méfiance justifiée et pourtant non fondée face aux progrès actuels impulsés par la haute hiérarchie congolaise. Parmi ces progrès, la RDC affiche une santé économique en grande progression et figure aujourd'hui parmi les pays les plus performants en Afrique subsaharienne, malgré la guerre injuste qui lui est imposée depuis 15 ans. Faut-il reconnaître que cette progression n'est pas le fruit du hasard mais d'un travail accompli par un leadership.
Si le climat des affaires est principalement encore affecté par la corruption, le favoritisme et le manque de transparence, il est à noter que des mesures significatives ont été prises par le Président de la République, pour la création d'une task force spéciale dont le Conseiller Spécial à la Présidence sera la locomotive. Ce qui indique que le Chef de l'Etat prend directement la responsabilité de ce chapitre et est prêt à en assumer toutes les conséquences, devant son peuple.
Une telle démarche démontre une garantie de bonne foi mais aussi une volonté affichée d'en découdre, une bonne fois pour toute, avec un fléau qui empêche le pays de mieux répondre aux impératifs socio-économiques de la population, notamment en ce qui concerne la création des emplois et la mobilisation volontariste et structurelle des petites et moyennes entreprises, vraies moteurs de la création des richesses.
Au lieu de nous lamenter et continuer de ressasser comme une litanie les maux sociaux qui accablent nos populations, un nouveau Formateur sera désigné dans les prochains jours, afin de répondre aux nouvelles exigences de la révolution du 23 octobre 2013 dont le social constitue l'un des soucis majeurs du prochain gouvernement. A défaut de rejoindre ce gouvernement, l'UNC et l'UDPS et alliés ainsi qu'une partie des forces acquises au changement devraient rapidement se mettre d'accord pour qu'enfin le porte-parole de l'opposition soit désigné.
Le Président du parlement s'est engagé dans ce sens et recherche une solution rapide et adéquate à ce problème hérité depuis 2006, dans un contexte politique de contestation de la transparence des résultats électoraux.
C'est également dans ce sens qu'une des presque 700 résolutions des concertations nationales pour la cohésion est la restructuration de la CENI (Commission électorale nationale indépendante). L'engagement public du Chef de l'Etat d'avoir adopté toutes ces résolutions ainsi que les impératifs d'organiser les élections dans un délai raisonnable, en conformité avec la constitution, laissent entendre qu'une action rapide et de bonne foi de ce volet est en chantier pour un renouvellement de la cohésion perdue entre les confessions religieuses, symbole de l'état spirituel de la Nation.
En effet, la République ne peut se permettre de céder le flan à ceux qui continuent de délester les relations entre la respectable institution qu'est l'Eglise catholique et la Présidence de la République, pour des fins personnels et occultes.
Par ailleurs, il n'existe plus aucun doute sur le respect de l'article 220, ce qui cède la voie aux nouveaux prétendants à la charge suprême de diriger le pays au sommet. Joseph Kabila Kabange trace la ligne de démarcation dans l'histoire de notre pays par cet engagement et surtout son exécution.
Les droits de l'homme demeure notre talon d’Achille, il est vrai qu'il n'est point besoin de clamer le contraire à ce sujet. Cependant, l'armistice annoncé ainsi que la libération des prisonniers politiques et autres tels que le Pasteur Fernando Kutino, le Député Diomi Ndongala, permettent de redonner un crédit à la nouvelle philosophie de la révolution du 23 octobre 2013, sans laquelle la marche de la cohésion nationale restera un vœu pieux.
C'est dans ce sens que la sélection du leadership de la Commission des droits de l'homme devient une des priorités pressante de la nouvelle direction prometteuse, initiée par le Président Joseph Kabila Kabange.
Révérend Pasteur Jean-Paul MOKA NGOLO MPATI
Mouvement Psaume 23
(Un organisme de la Société civile, officiellement enregistré et actif en RDC depuis 2004)
De ce qui précède, les autorités congolaises continueront de camper diplomatiquement et politiquement sur une position juste et légitime, soutenues par l'ensemble de sa population, toute tendance confondue. Une telle position n'exclut cependant pas la poursuite d'une résolution plus large des problèmes de fond des pays voisins, au cours d'une conférence internationale sur la problématique des Grands Lacs, sans remettre en cause l'intangibilité des frontières nationales.
La traque des autres forces négatives devra continuer, sans négliger le démarrage effectif des dialogues et négociations constructifs entre les pays de la région et leurs oppositions politiques et militaires. Il serait en effet inconcevable d'administrer à la seule RDC les dures conclusions des accords d’Addis-Abeba, pendant que les mêmes causes de l'instabilité dans l'Est de la RDC produisent les mêmes effets similaires dans les pays voisins d'où proviennent certaines forces négatives majeures en dépit du fait que la RDC continue d'être le terrain de génocide sexuel, de déplacement éhonté et criminel des populations congolaises, du pillage des ressources naturelles et du marchandage ethnique qui ne fait qu’exacerber les tensions communautaires.
Aujourd'hui, les forces armées de la RDC démontrent aux sceptiques que les restructurations entreprises par son Commandant suprême commencent à donner des résultats remarquables. Nous demandons aux vrais patriotes, ce y compris ceux de l'ARP et de l'APARECO de nous rejoindre dans cette nouvelle aire d'espoir.
Tous les efforts seront déployés dans ce sens, dans l'esprit de la révolution du 23 octobre 2013, comme cela fut fait pour les groupes «armés» à l'Est du pays, sinon une partie de l'opinion continuera d'afficher une méfiance justifiée et pourtant non fondée face aux progrès actuels impulsés par la haute hiérarchie congolaise. Parmi ces progrès, la RDC affiche une santé économique en grande progression et figure aujourd'hui parmi les pays les plus performants en Afrique subsaharienne, malgré la guerre injuste qui lui est imposée depuis 15 ans. Faut-il reconnaître que cette progression n'est pas le fruit du hasard mais d'un travail accompli par un leadership.
Si le climat des affaires est principalement encore affecté par la corruption, le favoritisme et le manque de transparence, il est à noter que des mesures significatives ont été prises par le Président de la République, pour la création d'une task force spéciale dont le Conseiller Spécial à la Présidence sera la locomotive. Ce qui indique que le Chef de l'Etat prend directement la responsabilité de ce chapitre et est prêt à en assumer toutes les conséquences, devant son peuple.
Une telle démarche démontre une garantie de bonne foi mais aussi une volonté affichée d'en découdre, une bonne fois pour toute, avec un fléau qui empêche le pays de mieux répondre aux impératifs socio-économiques de la population, notamment en ce qui concerne la création des emplois et la mobilisation volontariste et structurelle des petites et moyennes entreprises, vraies moteurs de la création des richesses.
Au lieu de nous lamenter et continuer de ressasser comme une litanie les maux sociaux qui accablent nos populations, un nouveau Formateur sera désigné dans les prochains jours, afin de répondre aux nouvelles exigences de la révolution du 23 octobre 2013 dont le social constitue l'un des soucis majeurs du prochain gouvernement. A défaut de rejoindre ce gouvernement, l'UNC et l'UDPS et alliés ainsi qu'une partie des forces acquises au changement devraient rapidement se mettre d'accord pour qu'enfin le porte-parole de l'opposition soit désigné.
Le Président du parlement s'est engagé dans ce sens et recherche une solution rapide et adéquate à ce problème hérité depuis 2006, dans un contexte politique de contestation de la transparence des résultats électoraux.
C'est également dans ce sens qu'une des presque 700 résolutions des concertations nationales pour la cohésion est la restructuration de la CENI (Commission électorale nationale indépendante). L'engagement public du Chef de l'Etat d'avoir adopté toutes ces résolutions ainsi que les impératifs d'organiser les élections dans un délai raisonnable, en conformité avec la constitution, laissent entendre qu'une action rapide et de bonne foi de ce volet est en chantier pour un renouvellement de la cohésion perdue entre les confessions religieuses, symbole de l'état spirituel de la Nation.
En effet, la République ne peut se permettre de céder le flan à ceux qui continuent de délester les relations entre la respectable institution qu'est l'Eglise catholique et la Présidence de la République, pour des fins personnels et occultes.
Par ailleurs, il n'existe plus aucun doute sur le respect de l'article 220, ce qui cède la voie aux nouveaux prétendants à la charge suprême de diriger le pays au sommet. Joseph Kabila Kabange trace la ligne de démarcation dans l'histoire de notre pays par cet engagement et surtout son exécution.
Les droits de l'homme demeure notre talon d’Achille, il est vrai qu'il n'est point besoin de clamer le contraire à ce sujet. Cependant, l'armistice annoncé ainsi que la libération des prisonniers politiques et autres tels que le Pasteur Fernando Kutino, le Député Diomi Ndongala, permettent de redonner un crédit à la nouvelle philosophie de la révolution du 23 octobre 2013, sans laquelle la marche de la cohésion nationale restera un vœu pieux.
C'est dans ce sens que la sélection du leadership de la Commission des droits de l'homme devient une des priorités pressante de la nouvelle direction prometteuse, initiée par le Président Joseph Kabila Kabange.
Révérend Pasteur Jean-Paul MOKA NGOLO MPATI
Mouvement Psaume 23
(Un organisme de la Société civile, officiellement enregistré et actif en RDC depuis 2004)
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